Aujourd’hui le monde connait une crise sans précédent qui impacte économiquement de nombreux secteurs, parmi eux celui du tourisme. Il est donc nécessaire de comprendre les différents leviers à actionner pour que ce secteur puisse prospérer.

Il faut être certain d’une chose, c’est que le tourisme est une nécessité économique. Rien qu’en France, ce secteur représente 168 Milliards d’euros par an, 2.8 millions d’emplois direct et 7,25% du PIB national.

Le tourisme nous est également nécessaire pour des raisons profondément humaines et sociétales : être curieux, aller à la découverte de l’autre, créer un lien social, échanger entre les peuples. Le tourisme nous apprend à apprendre.

Le besoin évident que nous avons de cette industrie prouve qu’il est indispensable qu’elle relève les défis mondiaux auxquels nous faisons face.

D’autre part le tourisme est responsable de plus de 8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et il subit lui aussi les impacts du changement climatique. Il est aujourd’hui nécessaire que l’ensemble des acteurs agissent pour limiter leurs émissions et offrent à leurs clientèles des expériences touristiques axées vers une consommation plus responsable.

C’est dans cet élan que de nouvelles tendances apparaissent comme le Slow Tourism , l’éco-tourisme ou le tourisme local.

Il est donc primordial pour les acteurs du tourisme de prendre les devants sur cette nouvelle façon de penser leur secteur. D’autant plus que de nombreuses solutions sont déjà disponibles et évidentes !

L’écologie peut être une économie

Dans les hôtels, les douches sont deux fois plus longues qu’au domicile, l’eau consommée sur site représente 8% des charges d’exploitation, hors facture énergétique. Cependant, de très nombreux hôtels ne sont pas équipés en systèmes économes et la plupart n’ont aucune idée du débit d’eau du matériel qu’ils ont acheté, cher ou non ! Du côté des touristes, on ne réalise pas que le problème est là et l’impact qu’il peut avoir.

L’économie que représente ces systèmes pour de grands hôtels se mesure en dizaines de milliers d’euros par an pour l’établissement et une lourde réduction de leurs consommation d’énergie, très souvent fossile, pour chauffer l’eau.

Sachant que le coût d’une douche se répartit équitablement entre le coût de l’eau et le coût de l’énergie pour la chauffer, économiser sur les douches est donc un objectif crucial pour le secteur hôtelier afin de réaliser les objectifs de transition écologique.

L’exemple d’Hydrao permet d’avoir une réflexion plus claire sur l’économie proposée : le pommeau de douche ALOE a un débit d’eau de 6L/min, soit 2 à 3 fois moins que de nombreux pommeaux équipant les hôtels, et le design de la sortie des jets d’eau est conçu pour que le rinçage reste agréable et efficace. Mais il ne s’arrête pas là, un microsystème électronique indépendant est alimenté par le jet d’eau de la douche et permet de faire changer de couleur le pommeau. Ainsi, le code couleur est utilisé pour indiquer à la personne qui est sous la douche la quantité d’eau qu’elle a consommée. Les hôtels clients d’Hydrao agissent ainsi pour un tourisme durable et incitent aux écogestes sans culpabilisation, à travers une expérience client atypique et pédagogique.

Ce produit, simple à mettre en place, permet de réaliser des économies d’eau et d’énergie substantielles et mesurables (jusqu’à 70% d’économie sur le coût des douches) grâce à un tableau de bord digital.

Le principe même de ce pommeau est de maintenir le confort de douche des produits classiques et permettre une grande économie d’eau chaude. C’est le sens de la certification Watersense qui garantit d’avoir la sensation d’une douche qualitative, et aux hôtels et autres lieux publics de bénéficier d’une prime environnementale de la part de l’état (CEE) pour l’acquisition de ces produits.

De nombreux progrès existe dans le monde des économies d’énergie. Il est à présent clair que les objectifs de la neutralité carbone et de la réduction de nos dépenses énergétiques ne peuvent plus être ignorés. C’est d’autant plus fondamental que cela ne représente qu’une étape évidente de la transition vers un tourisme durable.

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